le « hall pédagogique » à textes illisibles blancs sur fond orange m’a explosé les yeux et presque donné un torticolis tant je ne savais quoi regarder (textes, images ? vidéos ?) …
on est paumés.
L’installation de Erlich m’a fait beaucoup rire : « chambre bourgeois typiquement parisienne » …. ha ? le cinéma français s’est fait une spécialité des intérieurs bourgeois dans lesquels le quidam moyen ne vit pas (et n’ pas les moyens de vivre) … jamais vu un intérieur comme ça ni aussi kitsch et aussi laid de ma vie. (sauf peut-être dans des films de Chabrol : la chambre des époux dans la femme infidèle est oppressante et hideuse ou dans un film de sacha Guitry) Qu’est-ce que c’est que ce truc ? et je n’étais la seule à rigoler ….
rien retenu de remarquable.
Le film de Camille Henrot est assez bien scandé mais pas très compréhensible. la guirlande de bouse est pas mal …
vraiment bien aimé le « tableau » de la frontière pakistanaise réalisé à coup d’impacts de balles tirées d’armes à feu. (créer à coup de balles n’est pas nouveau-nouveau mais fait assez sens vu le monde (et son cortège de conflits violents) dans lequel on vit.)
le théâtre d’ombres et l’installation d’Othoniel sont très poétiques. des moments de respiration. universels.
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Par : Cécile
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